Ses vacances tournent au cauchemar à cause de son bronzage: «J’avais l’air d’un monstre»
Deux ans après avoir eu le visage déformé à cause d’une réaction allergique au soleil, cette Anglaise met en garde contre les dangers des bains de soleil prolongés.
En 2019, Lauren Stacey part avec ses copines sur l’île de la Barbade, notamment pour prendre des bains de soleil. Celle-ci explique qu’elle mettait constamment de la crème solaire durant ces vacances, mais qu’elle a sans doute oublié son front à un moment donné, ce qui l’a brûlée. Le lendemain, elle s’est réveillée avec une sensation de visage bouffi: «J’ai essayé d’ouvrir les yeux mais je n’y arrivais pas et j’ai demandé à une amie si tout était normal. Elle a sursauté en voyant mon visage et m’a dit de regarder dans le miroir… J’avais l’air d’un monstre!»
Lauren se rend donc chez le médecin, qui lui explique qu’elle a fait une réaction allergique au soleil. Dans la plupart des cas, cette allergie implique l’une ou l’autre éruption cutanée. Dans certains cas graves, cela peut entraîner des vertiges ou une respiration difficile. Et il y a ensuite ce que l’on appelle un «empoisonnement par le soleil», qui provoque un gonflement du visage, des difficultés respiratoires et un malaise.
Appel à la vigilance
Pour l’éviter, il est indispensable de porter de la crème solaire et d’éviter de s’exposer trop longtemps au soleil lorsqu’il tape. Suite à cet épisode, Lauren a pris des médicaments et s’est reposée, avant de rentrer chez elle. Seul hic, le douanier n’a pas pu la comparer à sa carte d’identité à l’aéroport, mais elle avait heureusement le mot d’un médecin pour justifier ce visage déformé.
Après cinq jours, les gonflements ont diminué tandis qu’elle restait cloîtrée à son domicile. «Heureusement, je n’avais pas de travail donc je pouvais rester chez moi», raconte-t-elle. Face à la vague de chaleur que l’Europe connaît actuellement, la jeune femme appelle à la vigilance de tous et de bien se protéger face au soleil. «Je ne voudrais pas que ce qui m’est arrivé, arrive à quelqu’un d’autre», conclut-elle.