Claire Chazal sort du silence sur l’affaire PPDA: «Celui que j’ai connu aime convaincre, pas forcer»
Claire Chazal a commenté pour la première fois l’affaire concernant Patrick Poivre d’Arvor, avec qui elle est sortie durant plusieurs années. La journaliste affirme ne pas reconnaître son ancien compagnon dans les témoignages de ces dernières semaines, même si elle affirme ne pas remettre en cause la parole des victimes.
Paris Claire Chazal était invitée de l’émission «L’instant M», durant laquelle elle a été interrogée au sujet de l’affaire Patrick Poivre d’Arvor. L’ex-compagne du présentateur télé est sortie du silence pour la première fois, expliquant qu’elle ne le reconnaissait pas dans les témoignages de ces dernières semaines: «L’homme qu’elles décrivent n’est pas celui que j’ai connu, que j’ai bien connu et personnellement et professionnellement. Celui que j’ai connu sans doute aimait séduire, convaincre, aimait avoir une relation forte avec les femmes, permanente, c’est ce qui l’intéressait. Mais il aimait les convaincre et ne pas les forcer.»
La présentatrice n’a pas caché son admiration pour son ancien compagnon, expliquant ce qui l’avait séduite: «On a la même conception, le même appétit pour la culture, la même envie de découvrir les autres, la même curiosité intellectuelle.»
«Toute parole est recevable»
La journaliste précise tout de même qu’elle ne remet pas en cause la parole des femmes qui libèrent leur parole: «Ce que je peux dire c’est que je ne mettrai jamais en cause la parole de ces femmes et je n’ai aucun moyen de le faire. Si elles estiment devoir parler aujourd’hui, de pouvoir surtout le faire parce que ce n’était peut-être pas le cas avant, et bien c’est peut-être un progrès. En tout cas toute parole est recevable.»
«La seule chose que je peux dire c’est que je n’ai jamais senti ça et je ne suis pas la seule. Ça ne m’est jamais revenu aux oreilles et je dis la vérité (…) C’est une chaîne puissante (…) Je n’ai jamais entendu parler d’une quelconque peur de la part d’une femme ou d’une jeune fille dans TF1», a-t-elle expliqué à propos de la chaîne, qui est accusée d’étouffer les affaires d’agressions sexuelles.