Emma Watson révèle qu’elle voulait quitter la saga Harry Potter après le quatrième volet
Emma Watson doit sans aucun doute sa carrière d’actrice à son rôle d’Hermione Granger dans la saga Harry Potter. Mais dans l’émission spéciale consacrée au monde de J.K. Rowling, la jeune femme révèle qu’à cause de la célébrité, elle a pensé à claquer la porte après le quatrième film.
Ce samedi, l’émission «Harry Potter 20th Anniversary: Return to Hogwarts», la grande réunion des acteurs de la saga Harry Potter, sera diffusée au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. En Belgique, il faudra attendre le lendemain, dimanche soir, pour regarder le show, sur Tipik. Certains extraits ont d’ores et déjà été révélés, notamment lorsqu’Emma Watson, Daniel Radcliffe et Rupert Grint discutent de la célébrité.
Difficile d’être soudés
D’ailleurs, la jeune femme explique lors de ce passage qu’elle avait envisagé d’abandonner son rôle, notamment à cause de la pression due à la célébrité qu’elle ressentait. À l’origine, elle ne souhaitait pas rempiler pour le cinquième film de la saga, «Harry Potter et l’Ordre du Phénix», dirigé par David Yates.
Car si les garçons présents sur le tournage pouvaient reposer les uns sur les autres, Emma Watson était «non seulement plus jeune, mais aussi toute seule», explique l’interprète de Drago Malefoy, Tom Felton. Et Daniel Radcliffe de compléter: «Nous n’en avons jamais parlé pendant le tournage des films parce que nous n’étions tous que des enfants. En tant que garçon de 14 ans, je n’allais jamais me tourner vers un autre enfant de 14 ans et lui demander: ‘Comment tu vas? Est-ce que tu te sens bien?’»
«La célébrité a fini par nous toucher de plein fouet»
La première intéressée se souvient: «Je pense que j’avais peur. Je ne sais pas si vous avez eu l’impression d’arriver à un moment charnière où vous vous êtes dit:
Le mot de la fin revient à Rupert Grint, qui joue Ron Weasley: «J’ai aussi eu des sentiments similaires à ceux d’Emma, en me demandant à quoi ressemblerait ma vie si je m’arrêtais, mais nous n’en avons jamais vraiment parlé. Je suppose que nous traversions les choses à notre propre rythme. Nous étions dans l’instant présent à ce moment-là. Il ne nous est pas venu à l’esprit que nous partagions tous des sentiments similaires.»