En larmes, Zahia révèle qu’elle pense au suicide «tous les jours»: «j’ai déjà essayé de mourir»

La comédienne et ex-call-girl Zahia Dehar est apparue en larmes sur Instagram. Victime d’un «pervers narcissique», la jeune femme a songé à mettre fin à ses jours.

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Sur Instagram, Zahia a poussé un véritable cri de détresse ce samedi. «Je ne sais plus comment faire», déclare-t-elle en pleurs. Malgré l’émotion qui la submerge, Zahia confie son histoire et explique comment une «mauvaise rencontre» avec un «pervers narcissique» a fait de sa vie un «calvaire».

Une relation toxique dont elle ne sait comment sortir aujourd’hui, confie-t-elle, malgré que cette relation la détruise à petit feu: «J’en suis à vouloir me suicider tous les jours, c’est affreux, je ne savais pas que c’était si dangereux de tomber sur ce genre de personnes.»

«J’avais entendu dire que beaucoup de victimes de pervers narcissiques voulaient se suicider et je me rends compte que c’est vrai je commence à avoir envie de mourir. Je n’ai plus d’espoir pour ma vie, je n’ai plus rien», révèle-t-elle. «Regardez, j’ai même essayé de me tailler les veines il n’y a pas longtemps, j’ai essayé de mourir. C’est là vous voyez, c’est ce que j’ai fait.»

Un appel à l’aide

Zahia explique ensuite que cet homme, rencontré il y a plusieurs années l’a totalement manipulée. «Avant, je brillais, je l’ai rencontré, il m’a fait un lavage de cerveau et maintenant il me voit toute détruite à cause de lui.» Selon la jeune femme, c’est cet homme qui l’a poussé à devenir escort. «C’est pour ça finalement que je me suis prostitué à l’âge de 15 ans, c’était pour ça. Depuis que j’ai essayé l’amour, ce soi-disant amour, ce qui est censé être convenable pour notre société, je n’ai jamais été aussi humiliée et brisée», ajoute-t-elle.

Si Zahia s’est adressée à sa communauté ce samedi, c’est avant tout pour appeler au secours. «Je veux de l’aide, je vous en supplie, je ne sais pas quoi faire», implore la jeune femme. En commentaires, de nombreuses personnes lui ont adressé des messages de soutien et l’ont encouragée à se rendre au commissariat pour déposer plainte.

«On peut attaquer quelqu’un physiquement, mais on peut aussi détruire quelqu’un psychologiquement et c’est ce qu’il a fait, il a tout planifié pour prendre tout ce que j’avais, tout mon bonheur et pour ensuite me jeter», conclut Zahia. «J’ai l’impression de ne pas pouvoir m’en sortir, je suis détruite psychologiquement à un point qui m’est extrême.»