Hannah Spearritt (S Club 7) s’est retrouvée sans domicile avec ses enfants
Si vous avez grandi dans les années 1990, vous vous souvenez très certainement du S Club 7. Après avoir enchaîné les tubes, le groupe formé par Simon Fuller (le créateur des Spice Girls) avait même sa propre série télévisée. Après des années de succès, les membres du groupe ont peu à peu été éloignés des projecteurs. Hannah Spearritt est l’une d’entre eux. Aujourd’hui mère de famille, elle a confié avoir récemment vécu des mois très difficiles.
Après avoir enchaîné des logements temporaires, elle s’est même retrouvée sans domicile fixe juste avant les fêtes de fin d’année. En cause: le propriétaire avait décidé de vendre les lieux. «Il avait besoin d’argent et la propriété s’est vendue très rapidement. Tout à coup, nous avions deux jours pour quitter les lieux. Ce qui nous a mis dans le pétrin, c’est que nous n’avions pas le temps de trouver un autre logement», retrace-t-elle dans les colonnes du Sun. «Nous n’avions nulle part où aller.»
Fort heureusement, Hannah Spearritt a pu compter sur la générosité d’un ami qui lui a permis de se loger en urgence dans ses bureaux, avec son compagnon et ses deux filles de 2 et 4 ans. «Pour les enfants, de vivre dans ces bureaux, c’était plutôt amusant, pour moi c’était stressant. Surtout avec eux. Mais bon, on fait avec», confie-t-elle.
La petite famille est ensuite partie vivre dans la maison d’un autre ami qui s’était absenté. Pour l’heure, ils sont toujours en recherche d’un logement pérenne. Côté professionnel, ils comptent prochainement ouvrir un café à Londres. S’ils ont déjà trouvé un local, celui-ci est actuellement occupé par toutes leurs affaires personnelles. La situation reste donc compliquée mais l’ancienne chanteuse préfère rester optimiste. «Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort», relativise-t-elle.
Hannah Spearritt a d’ailleurs tenu à mettre les points sur les i concernant les revenus des membres du S Club 7. «Les gens pensent que nous devons tous être millionnaires. Malheureusement, ce n’est pas le cas», assure-t-elle, expliquant n’avoir été payée «que» 150 000 livres par an au plus fort de sa carrière… alors que le groupe valait pas moins de 50 millions.
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