Le Prince Harry cash dans une interview: «Je ne recherche pas la sympathie»
Nouveau rebondissement chez les «Sussex». Alors que le roi Charles III a retiré l’usage de leur résidence britannique, à Windsor, Harry a décidé de continuer ses confidences affirmant qu’il ne recherchait «pas la sympathie».
Le roi Charles III a décidé d’expulser les Sussex de Frogmore Cottage, leur résidence britannique à Windsor, après la publication du livre vengeur du prince. Ce samedi 4 mars, le Prince Harry a accordé une interview exclusive en direct au docteur Gabor Maté, expert dans les traumatismes liés à l’enfance.
Durant cette session de question-réponse, le frère du prince William a été poussé à parler de son enfance, du décès de sa mère et de son désir de s’éloigner de la famille royale britannique.
Pas une victime
L’époux de Meghan Markle en a alors profité pour mettre les choses aux claires. «Je ne me considère pas comme une victime. Je suis vraiment reconnaissant de pouvoir partager mon histoire et d’aider à autonomiser et à encourager les autres. Je ne recherche pas et n’ai jamais recherché la sympathie », a déclaré le Prince Harry.
Ne pas commettre les mêmes erreurs
Il a soutenu le fait qu’il s’est toujours «senti profondément différent du reste de la famille royale, tout comme le ressentait probablement ma mère». Il a d’ailleurs motivé son choix de rompre les liens avec la famille royale en expliquant ne pas vouloir commettre les mêmes erreurs qu’avait pu faire son père. Harry, 38 ans, lui reproche d’avoir toujours instauré une trop grande distance entre eux.
Il est aussi revenu sur sa consommation de drogue qui l’a parfois aidé à se couper de tout. Le médecin canadien d’origine hongroise a diagnostiqué le prince Harry comme souffrant d’un trouble déficitaire de l’attention (TDA). Il a ajouté être arrivé à cette conclusion après avoir lu le livre de Harry, «Le Suppléant».
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