Nikos Aliagas raconte qu’il a frôlé la mort à la naissance: «Aujourd’hui encore, tout peut s’arrêter»

Depuis maintenant plus de 20 ans, Nikos Aliagas a investi nos salons sur le petit écran. Mais le présentateur emblématique de TF1 a failli mourir dès la naissance. Il s’est confié dans les colonnes de «Psychologies» au sujet de ses premiers pas difficiles dans la vie.

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Nikos Aliagas fait partie des figures emblématiques de TF1. Passé par la présentation de «Star Academy», «The Voice» ou «50’ Inside», l’animateur est l’un des chouchous des téléspectateurs depuis maintenant plus de 20 ans. Dans le magazine «Psychologies», le présentateur est revenu sur son parcours à 100 à l’heure: « J’ai travaillé toute ma vie. Il m’a fallu beaucoup de temps pour partir en vacances sans culpabilité.»

«Chez moi, on n’avait pas de loisirs, pas de grasse matinée: à coups de pied au cul, on était réveillés, ma sœur et moi, et on partait bosser dans l’atelier de mon père. Il était tailleur, ma mère travaillait avec lui, et pour eux, on n’était que de passage ici: il fallait pouvoir se payer le voyage du retour», poursuit le Grec d’origine.

Proche de la mort

Et s’il mène une vie tambours battant, c’est sans doute aussi parce qu’il n’est pas passé loin de la mort dès la naissance: « Je suis né mort: j’avais une grave malformation du duodénum, on me donnait une semaine à vivre, poursuit-il. Une jeune chirurgienne m’a sauvé, mais j’ai vécu longtemps dans la douleur.»

«Les deux premiers mois de ma vie, je n’ai pas été en contact avec mes parents, on ne m’a enlevé mes fils qu’à 2 ans, et aujourd’hui encore, à n’importe quel moment, s’il m’arrive quoi que ce soit, tout peut s’arrêter. En permanence, je suis en survie. Alors les petits inconvénients de la vie, je ne les vois pas», conclut le présentateur. On comprend donc mieux le rythme effréné mené par l’une des personnalités préférées des Français.