On a regardé le premier épisode de la 5e saison de «Mariés au premier regard»
Ce dimanche 13 février à 20h50, «Mariés au premier regard» reprend du service sur RTL-TVI. Le principe est toujours le même: des célibataires à la recherche de l’amour font confiance à la science et à quatre experts pour trouver leur âme sœur. Les candidats compatibles se découvrent pour la toute première fois à la commune, le jour de leur mariage. Ça ne marche évidemment pas à tous les coups mais la saison précédente, deux couples s’étaient mariés au premier regard et avaient confirmé leur engagement à la fin de l’aventure.
«L’objectif de cette expérience, c’est d’utiliser toutes les connaissances scientifiques sur les compatibilités amoureuses pour former des couples qui fonctionnent sur le long terme», explique Catherine Solano, médecin, sexologue et sexothérapeute, l’une des quatre expertes de l’émission.
Pour cette nouvelle saison, 3.500 Belges ont participé aux sélections. Il faut dire que la pandémie n’a pas vraiment simplifié les rencontres amoureuses. «Trouver l’âme sœur de nos jours est devenu extrêmement compliqué. La situation sanitaire que nous connaissons actuellement à des conséquences. Les espaces de sociabilité comme les lieux de travail, les écoles, les cafés et les restaurants constituent des lieux de rencontres amoureuses qui ont été fermés et qui ont empêché énormément de personnes de se rencontrer», détaille Audrey van Ouytsel, docteur en sociologie.
Les candidats ont d’abord passé une série de tests psychologiques et ont répondu à plus 200 questions sur les valeurs, les goûts, l’attirance physique mais aussi sur la sexualité. Le but est que les quatre experts puissent cerner leur personnalité et connaître leurs attentes. «D’année en année, on affine les algorithmes et les questionnaires», indique Jean-Luc Beaumont, docteur en psychologie tout en expliquant à un candidat que plus il répondra sincèrement, plus les experts lui trouveront la personne qui lui correspond.
Après les tests psychologiques, les célibataires en quête d’amour qui ont été sélectionnés passent des entretiens individuels avec les experts pour être questionnés sur des éléments bien particuliers.
Au final, cinq nouveaux couples vont avoir l’occasion de se rencontrer pour la première fois le jour de leur mariage. Dans ce premier épisode, les téléspectateurs découvriront Julien. Ce chauffeur de bus scolaire a 29 ans et est originaire de Jodoigne. Depuis huit ans, il est également DJ. «Cette expérience, c’était la seule chance pour moi de me marier avant 30 ans», explique le jeune homme célibataire depuis un an. Âgée de 32 ans, Élodie est quant à elle infirmière urgentiste et participe notamment à la campagne de vaccination contre la Covid-19 dans la région namuroise. Élodie a une sœur jumelle mais contrairement à la version française de «Mariés au premier regard», ici, il ne sera pas question de tentative de mariage groupé! Au programme de l’émission de ce dimanche: l’annonce de la participation à l’expérience à la famille et aux proches, les préparatifs de la cérémonie avec notamment le choix de la robe de mariée.
Pour la première fois dans l’émission, un candidat va rencontrer avant le mariage la famille de la future mariée pour s’assurer qu’un petit détail ne vienne pas gâcher la première rencontre. Cet épisode permettra également aux téléspectateurs de découvrir deux autres candidats: Laura, une employée administrative de 27 ans qui habite Bruxelles, et Joël, un superviseur de chantier, sportif, célibataire depuis trois ans et originaire de Tubize. Pour la suite, la production annonce des histoires inédites à découvrir cette année, parmi lesquelles un couple de quarantenaires rocks et dynamiques, parents pour certains, qui après avoir vécu des déceptions amoureuses sont toujours autant désireux de rencontrer l’âme sœur.