Comment l’intelligence artificielle réduit les risques de séquelles après un AVC
Au Royaume-Uni, le nombre de patients qui ne présentent pas ou peu de séquelles après un accident vasculaire cérébral (AVC) a été multiplié par trois grâce à l’intelligence artificielle (IA), a annoncé mardi le ministère britannique de la Santé.
Développé par une entreprise basée à Oxford, le système Brainomix e-Stroke réduit de plus d’une heure le diagnostic et permet de choisir rapidement le traitement le plus adapté.
Son utilisation, dans 111.000 cas de suspicion d’AVC, a augmenté de 16% à 48% le taux de patients qui ne souffrent d’aucun ou d’un handicap léger.
L’IA apporte une aide à la prise de décision dans l’interprétation de scanners du cerveau, pour permettre au patient «d’avoir le bon traitement, au bon endroit, au bon moment», souligne le ministère.
Plus de 85.000 personnes en Angleterre font un AVC chaque année.
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