Drame en France: À peine sorti de prison, il abat son fils de 7 ans d’une balle dans la tête
Près de Paris, un homme de 34 ans est accusé d’avoir tué son fils de 7 ans. Il venait de sortir de prison quelques jours plus tôt.
Un homme de 34 ans serait à l’origine du meurtre de Kévin, son fils d’à peine 7 ans, qu’il a tué d’une balle dans la tête le 20 août dernier. Plus tôt dans la journée, il aurait contacté la mère à son travail pour lui avouer les faits. Lors de l’intervention de la police au domicile familial, ils l’auraient trouvé sur le lit de la chambre à coucher, où il venait de tenter de se suicider.
L’homme a tenté de se suicider
Les secours l’ont pris en charge et il a été transporté dans un état critique à l’hôpital. La famille habitait un immeuble de sept étages où le reste des résidents est sous le choc. Nombre d’entre eux ne comprennent pas ce qui l’a poussé à un tel acte, parlant de lui comme d’un voisin amical: «Il a aidé plusieurs fois des personnes quand il y a eu des fuites d’eau chez elles ou même dans la cage d’ascenseur.»
Une voisine sous le choc
«C’était une vraie pipelette. Je me souviens que son père disait qu’il était hyperactif donc qu’il lui faisait faire du sport, du judo notamment», se rappelle une voisine en évoquant Kévin. Une retraitée reste sous le choc de ces terribles événements: «On voit des choses comme ça dans les journaux et on se demande comment c’est possible. Mais quand ça arrive dans votre immeuble, que ce sont des gens que vous avez côtoyés, c’est émotionnellement pas facile.»
Il avait bénéficié d’une remise de peine
Le Parisien rapporte que le père de 34 ans venait de sortir de prison le 3 août dernier. Il avait été «condamné en janvier à dix-huit mois de prison dont neuf avec surpris probatoire pour enlèvement, séquestration et violence volontaires sur une autre femme que la sienne. Il avait bénéficié d’une remise de peine», apprend-on. Les enquêteurs vont «sans doute explorer la piste d’une séparation que l’homme n’aurait pas acceptée, même si le couple habitait toujours sous le même toit.»