Le gouvernement britannique a envisagé d’abattre les chats pour lutter contre la Covid
Un ancien cadre du gouvernement britannique a révélé ce mercredi 1er mars que son département étudiait la possibilité d’exterminer la totalité des chats du Royaume-Uni lors de l’apparition de la Covid-19. Ils craignaient que ces félins puissent propager la maladie.
Initialement critiqué pour son inaction face au virus Covid-19, le gouvernement britannique, mené par Boris Johnson, a bien failli passer à un acte irréversible: exterminer les chats.
Cela n’aurait pas été la première fois qu’une telle démarche est entreprise afin d’endiguer la propagation d’une maladie. Par exemple, un grand nombre de volailles a été abattu en France afin d’arrêter la progression de la grippe aviaire. Et dans le cas du coronavirus, le Danemark était passé à l’acte en supprimant 15 millions de visons.
Chatperlipopette
James Bethell, ancien cadre du ministère de la Santé britannique, explique que l’incertitude régnait autour des chats domestiques et leur capacité à transmettre le coronavirus. C’est au micro de Channel 4 News qu’il a justifié cette hésitation:
Aux grands maux les grands remèdes:
11 millions d’amis
Ce massacre aurait fait de nombreuses victimes: selon un recensement PAW, mené avec la société internationale de sondage YouGov, le Royaume-Uni comptait presque 11 millions de chats domestiques en 2020!
Heureusement, la décision n’a jamais été prise. Il a simplement été demandé aux propriétaires de chats de ne pas embrasser leurs animaux après que des cas de transmissions vers les chats ont été observés en juillet 2020.
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