Vladimir Poutine empoisonné? De nouvelles révélations sur son état de santé
Le journaliste d’investigation britannique John Sweeney a révélé qu’il était possible que le président russe Vladimir Poutine soit «empoisonné avec des stéroïdes».
John Sweeney, journaliste d’investigation britannique expert de la Russie et du président Vladimir Poutine, révèle dans son nouveau livre «Killer in the Kremlin», qui sort ce jeudi 21 juillet, des anecdotes concernant l’état de santé du chef du Kremlin.
Le magazine américain «Newsweek» a publié certains extraits de ce livre, où le journaliste explique à quel point il a été effrayé par le changement d’apparence et d’attitude du président. John Sweeney raconte que lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine en 2014, ce dernier était «subtil», «lisse» et «parlait calmement». Il le qualifiait comme «un furet, un reptile» alors qu’aujourd’hui il compare le président à «un hamster, aux joues gonflées et en mauvaise santé».
Empoisonnement accidentel?
Et si Vladimir Poutine est aussi mal en point, c’est parce qu’il se serait empoisonné accidentellement avec des stéroïdes qu’il prenait pour soigner des douleurs au dos suite à une chute à cheval.
D’après le journaliste d’investigation, le président aurait continué à prendre des stéroïdes de manière excessive et cela aurait créé des tumeurs. «Est-il possible que Vladimir l’empoisonneur se soit empoisonné accidentellement? C’est possible», écrit John Sweeney. «Ce serait très ironique», poursuit-il puisque le chef du Kremlin est soupçonné d’avoir empoisonné plusieurs opposants politiques, dont le leader de l’opposition Alexeï Navalny.
John Sweeney mentionne aussi le changement d’attitude de Vladimir Poutine en la comparant à celle d’un ancien gangster britannique, qui prenait lui aussi des stéroïdes et qui avait un comportement «très agressif». Un comportement qui rappelle celui du chef du Kremlin ces derniers mois, ajoute le journaliste.
Même si Moscou nie en bloc les problèmes de santé de son chef d’état, John Sweeney persiste et continue d’affirmer que Vladimir Poutine est malade, tout en se demandant: «Vladimir Poutine – qui dispose d’un gigantesque arsenal nucléaire – oserait-il tous nous tuer en sachant qu’il n’a lui-même plus longtemps à vivre?».