Voici la seule question que vous devez vous poser avant de tromper votre partenaire
L’infidélité se propagerait-elle comme une maladie? Quels sont les facteurs de risques? Et à partir de quand parle-t-on vraiment de tromperie? Ces dernières années, des recherches en tous genres fleurissent sur l’infidélité. Plutôt que de tenter de chiffrer, de définir ou d’expliquer ce phénomène, une nouvelle étude s’est penchée sur la manière de le prévenir. Et les chercheurs sont arrivés à cette conclusion: il y a une question à se poser avant de se laisser aller à l’adultère. Et celle-ci en diminuerait la tentation.
Se mettre à sa place
L’enquête a été menée en Israël auprès de 408 participants (213 femmes et 195 hommes) âgés de 20 à 47 ans, tous engagés dans une relation monogame. Les volontaires ont été séparés en deux groupes. Tous ont dû évaluer, rencontrer ou penser à des inconnus séduisants. Au premier groupe, il a été demandé de le faire tout en essayent de se mettre à la place de leur partenaire actuel et en adoptant son point de vue à lui/elle. Tandis que le second groupe ne devait se soucier de rien.
Et les résultats sont clairs: changer de perspective et adopter le point de vue de l’autre réduit considérablement l’attrait romantique et sexuel que l’on peut porter à un potentiel prétendant. Et dans le même temps, relèvent les chercheurs, cela accroît l’engagement et le désir que l’on ressent pour son partenaire.
Si l’envie d’aller voir ailleurs vous effleure, «réfléchissez et posez-vous la question: comment votre conjoint serait-il affecté par votre désir pour un autre?», conseille l’autrice de l’étude Gurit E. Birnbaum, professeure de psychologie à l’Université Reichman (Israël).
«Avec nos résultats, on offre aux gens un moyen de résister plus facilement aux tentations à court terme», ajoute la chercheuse dans les colonnes du HuffPost. «En général, changer de perspective fait pencher la balance en faveur des considérations à long terme (le maintien de sa relation) plutôt que du plaisir à court terme».
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