Affaire Maddie McCann: Julia Wendell présente ses excuses aux parents de la petite fille

Il y a maintenant plus d’un mois, Julia Wendell prétendait être Maddie McCann, la petite fille britannique disparue au Portugal à l’été 2007. Un test ADN a prouvé qu’il n’en était rien, et la jeune femme a tenu à présenter ses excuses auprès des parents de Maddie.

par
Sébastien Paulus
Temps de lecture 2 min.

Il y a plusieurs semaines, une femmeprétendait haut et fort sur les réseaux sociaux qu’elle était Maddie McCann, la petite fille britannique disparue au Portugal en 2007. Cette personne est une Allemande résidant en Pologne que l’on connaît sous le nom de Julia Wendell. Celle-ci avait demandé des tests ADN afin de découvrir sa véritable identité.

Il y a une dizaine de jours, le test ADN a démontré que la jeune femmeétait «originaire de Pologne, avec des origines lituanienne et roumaine». Sa représentante Fia Johansson avait réagi à la nouvelle: «Au moins, Julia a fait bouger les enquêteurs sur l’affaire McCann […] elle a fait bouger les choses.»

Où en est Julia?

Suite à cette annonce, Julia a reçu de nombreuses menaces de mort, si bien qu’elle a dû quitter la Pologne pour rejoindre les États-Unis. Celle-ci a tenu à créer un nouveau compte Instagram, sur lequel elle rétablit sa vérité. Dans un long message, elle a notamment tenu à s’excuser auprès des parents de Maddie.

«Je ne me souviens pas de la plupart de mes souvenirs mais je me souviens de certaines choses et je n’ai jamais dit que j’étais Madeleine McCann. J’ai utilisé cette phrase pour créer un surnom pour mon ancien compte Instagram, c’était mon erreur et je le sais et je m’en excuse car j’aurais dû utiliser les mots ‘Suis-je Madeleine McCann’ et non ‘Je suis’», explique la Polonaise.

«C’était donc de ma faute et je n’avais pas l’intention d’apporter de la tristesse ou toute autre émotion négative à qui que ce soit, en particulier à la famille McCann. Mon objectif principal a toujours été de découvrir qui je suis et ce qui s’est exactement passé dans mon passé très douloureux», conclut Julia Wendell.

Fin de l’histoire?

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