«Arrêtez le film, nous ne voulons pas voir ça»: Des enfants de dix ans regardent la version horreur de «Winnie l’Ourson»… par erreur
De quoi être traumatisé… Dans une école de Miami, des enfants de dix ans pensaient regarder le dessin animé «Winnie l’Ourson» et se sont retrouvés devant… un film d’horreur. On vous raconte!
Tout le monde connaît «Winnie L’Ourson», ce petit ours qui raffole de miel. Mais saviez-vous qu’il existe aussi une version horreur de ce personnage de la littérature créé en 1926 par l’écrivain britannique Alan Alexander Milne? Intitulé «Winnie l’Ourson: du sang et du miel», ce film d’horreur a été malencontreusement montré à des jeunes de dix ans dans une école de Miami. On vous laisse deviner la réaction des enfants… et des parents.
Des parents furieux
Selon CBS News, ces enfants auraient donc visionné près de 30 minutes du film d’horreur «Winnie l’Ourson: du sang et du miel» en lieu et place du dessin animé. Effrayés, ils se sont alors adressés à leur professeur de mathématiques afin qu’il cesse cette diffusion.
Suite à cet incident, les parents se sont montrés furieux et l’ont fait savoir: «Ce n’est pas à eux de décider ce qu’ils veulent regarder. C’est au professeur d’examiner le contenu. Et il n’a même pas arrêté le film, alors que des élèves disaient: ‘Arrêtez le film, nous ne voulons pas voir ça’», a révélé une mère auprès de CBS News.
Un conseiller mental pour les élèves choqués
En réponse à cette vague de protestations de la part des parents, l’école a tenu à présenter ses excuses. «L’Academy for Innovative Education a appris qu’une partie d’un film d’horreur avait été projetée à des élèves de quatrième année, le lundi 2 octobre 2023, alors qu’elle n’était pas adaptée à cette tranche d’âge. Notre administration a rapidement abordé ce problème directement avec l’enseignant et a pris les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et le bien-être des élèves. Nous surveillons activement les élèves et notre conseiller en santé mentale ainsi que le principal ont déjà rencontré les élèves qui ont exprimé leurs inquiétudes», a déclaré l’école dans un communiqué.
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