Corps pendus, jambe arrachée, cadavres empilés…: les images les plus flippantes de Google Street View
À l’approche d’Halloween, les affaires les plus sordides refont surface sur le web. Et les images de Google Street View ont nourri bon nombre d’histoires étranges et effrayantes depuis le lancement du service en 2007. En effet, s’il a permis de résoudre quelques mystères, il en a alimenté de nombreux autres. Des légendes urbaines aux théories complotistes les plus folles, voici cinq images qui ont intrigué les internautes.
1.Une poubelle pleine de cadavres
En 2013, les web détectives découvrent, dans une rue chilienne, une benne pleine de cadavres désarticulés. De quoi déchaîner les passions sur la toile… du moins jusqu’à la mise au point de Google: il ne s’agit évidemment pas de corps assassinés mais simplement de vieux mannequins mis aux ordures.
2.Un meurtre sur les docks
2013 toujours, mais aux Pays-Bas cette fois. Un utilisateur de Reddit, habitant à Almere, annonçait qu’un «meurtre» avait eu lieu près de chez lui et était visible sur Google Maps. Sur l’image, on distinguait une forme sur un ponton en bois, à côté de ce qu’il semblait être une traînée de sang.
En réalité, le «cadavre» était… un chien du voisinage. Rama, de son nom, avait été se baigner dans le lac avant de remonter sur le ponton. Trempé, il avait donc laissé des traces plus foncées sur le bois.
3.Le randonneur sans jambe
En 2014, les voiturettes Google capturent un couple au détour d’un chemin de randonnée en Crimée. Sur la photo, l’homme apparaît avec… une jambe arrachée. Ou une troisième jambe, c’est selon.
Une «illusion d’optique» qui s’explique par un bug dans la superposition des images Google.
4.Le village des morts
Les images du petit village de Nagoro, au Japon, ont de quoi glacer le sang. Si vous en arpentez les rues derrière votre écran, vous découvrirez ici et là des formes humanoïdes au visage livides…
Ces poupées géantes ont été conçues par une habitante de Nagoro. Elle en place une nouvelle à chaque fois qu’un des villageois meurt. Aujourd’hui, Nagoro compterait une trentaine de résidents pour… plus de 400 poupées. Charmant.
5.L’île mexicaine
Dans la même veine, «La Isla de las Muñecas», au Mexique, a fait trembler quelques web detectives avec ses petits corps pendus aux arbres.
Ici non plus, point de cadavre. Mais seulement une décoration quelque peu particulière. «La Isla de las Muñecas» (l’île aux poupées) près de Mexico est habitée de centaines de vieilles poupées démembrées. C’est un habitant de l’île qui aurait, dans les années 50, créé cette mise en scène pour chasser les mauvais esprits. Accrochées aux arbres ou installées dans les maisons désertes, elles n’ont pas bougé depuis.