Un couple se voit rembourser son vol après avoir passé 13h à côté d’un chien bruyant
Tu penses qu’il ne peut pas y avoir pire voisin de voyage qu’un bébé qui pleure? Eh bien tu te trompes. Un couple a passé 13h de vol à côté d’un chien qui «pétait et reniflait». Un enfer !
Gill et Warren Press rentraient chez eux en Nouvelle-Zélande après des vacances en Europe. Ils ont pris un vol de Singapore Airlines qui reliait Paris et Singapour. Un vol de 13h qu’ils ne sont pas près d’oublier. Et pour cause, ils ont eu comme voisin un chien particulièrement dérangeant.
Un voisin bruyant et malodorant
Le couple avait acheté des billets « premium economy » afin d’avoir un peu plus de place dans l’avion et de passer un bon vol. Un choix qui n’aura pas été très utile. Leur vol s’est transformé en véritable enfer. Ils se sont en effet retrouvés à côté d’un passager qui avait un chien particulièrement bruyant et malodorant. Un animal qu’ils n’avaient au départ pas repéré comme l’a confié Gill Press. Ils ont réalisé que le chien était là qu’après avoir entendu un «reniflement important». Ne voulant pas que leur espace pour les jambes soit occupé par le chien pendant tout le vol, ils ont alors demandé si d’autres sièges étaient disponibles. Malheureusement, les seuls sièges encore libres se trouvaient en classe économique. Ils ont donc décidé de prendre leur mal en patience et de rester sur les sièges qu’on leur avait attribués. Une décision qu’ils ont vite fait de regretter lorsque le chien a commencé à « péter » dans l’environnement confiné et que M. Press a reçu de la « salive sur la jambe ». N’en pouvant plus, le couple a finalement bougé dès que des sièges réservés aux membres du personnel de la compagnie aérienne se sont libérés.
Demande de remboursement
Suite à ce vol désastreux, le couple a fait une demande de remboursement auprès de la compagnie aérienne. Singapore Airlines leur a d’abord proposé des bons de voyage en dédommagement, une offre qu’ils ont refusée. Ils ont fini par être remboursés à hauteur de 1.410$, une somme qu’ils ont prévu de reverser à une organisation caritative néo-zélandaise qui permet aux personnes malvoyantes d’avoir un chien-guide. «Ce n’était pas une question d’argent, on voulait simplement responsabiliser les gens», comme l’a confié Gill Press.
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