Voici pourquoi le pré-blocus de Pâques est (clairement) le meilleur blocus
C’est le «pré-blocus». Si tu es étudiant, cette info n’a pas pu t’échapper (même si tu as peut-être tenté de faire la sourde oreille). Loin de vouloir te déprimer, Metro t’explique pourquoi ce blocus est le meilleur de l’année et comment en tirer du positif.
Les blocus c’est déprimant. Presque tous les étudiants seront d’accord avec ça. Même si ce n’est pas encore «officiellement» le blocus, les vacances de Pâques signifient la période de «pré-blocus» pour beaucoup d’étudiants. Metro est désolé de te l’apprendre ou de te le rappeler.
Il fait beau (mais pas trop)
Il n’y a rien de pire que d’étudier sous 25 degrés et un grand soleil. Voilà pourquoi il est souvent plus difficile de trouver la motivation pendant le blocus de juin. Le mois d’avril est donc idyllique en comparaison: le temps est lumineux mais assez incertain, ce qui n’incite pas spécialement à se poser en terrasse. Et il ne fait pas froid! On ne grelotte donc pas sous trois pulls derrière son bureau.
On n’a aucun stress
Se mettre à étudier, faire des fiches voire même simplement relire en avril pour le mois de juin c’est simplement prendre de l’avance. Tu n’es pas stressé car tu sais qu’il te reste du temps et tu peux même te permettre de procrastiner un peu. Ce pré-blocus c’est que du temps bonus que tu peux mettre à profit! Tu as le temps et tu peux avancer à ton rythme sans culpabiliser.
On peut même voyager
Et comme ce n’est pas encore vraiment le blocus, tu peux même te permettre de partir quelques jours. Car quoi de plus motivant que de savoir qu’on part un week-end à Barcelone après trois petits jours d’étude? Fais-toi un planning qui allie étude et sorties/voyages et tu seras comblé!
Bref, le pré-blocus de Pâques, c’est LE blocus parfait où
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